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Paris | ||||||
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Au centre du bassin parisien, le site de la capitale est l’œuvre de
la Seine, qui coulait a 35 m au-dessus de son niveau actuel, et a éventré
les calcaires et les sables tertiaires. e5i23ig La tradition centralisatrice de Paris, s’est affirmée depuis le Premier Empire jusqu’en 1960.Capitale politique, administrative, économique et culturelle, le Paris du 20e s. a connu une extension rapide mais désordonnée, aussi, un plan directeur a-t-il été mis en œuvre, pour corriger le sous équipement et la confusion qui menaçaient la région. Cette exposé a la prétention de faire connaitre toutes les merveilles de Paris. LE PALAIS DE CHAILLOT LA TOUR EIFFEL On n’imagine plus Paris sans elle. Construite par Eiffel, de 1887 a
1889, comme un défi de l’architecture métallique aux règles
traditionnelles de la construction, elle est aujourd’hui l’émetteur
de télévision de la region parisienne. Divisée en 3 étages:
le premier atteint 57 m, le second 115 m, le troisième 276 m d’altitude
(le sommet de l’antenne atteint 320 m). De sa dernière plateforme,
on découvre, par beau temps, Paris et sa banlieue la plus liontaine.
La dentelle de fer n’offre que peu de prise au vent, dont l-action est
amortie par les caissons hydrauliques sur lesquels reposent les quatre pieds
de la Tour. Ce vaste rectangle de verdure aménagé par FORMIGE entre 1908 et 1928 s’étend enarrière de la Tour Eiffel jusqu’a l’Ecole Militaire. Près de la Tour, c’est un jardin a l’anglaise avec d’ agréables chemins tournant autour des rochers, des cascades et des lacs ombragés. Vers l’Ecole, ses vastes avenues géométriques lui conservent la rigueur du parc a la française. Ici, le 14 juillet fut célébré pour la première fois, en 1790, par les 14.000 délégués des départements, devant Louis XVI. L’ECOLE MILITAIRE Cet édifice, qui ferme la perspective du Champ de Mars, fut construit
a la fin du règne de Louis XV, par l’un des meilleurs architectes
du XVIIIème siècle, Jaques-Ange Gabriel, (entre 1751 et 1773)
qui évita le risque de monotonie de la longue façade par un avant
- corps précédé d’un portique. Mais la véritable
façade donne sur la Cour d’ Honneur et peut se voir de la Plaçe
de Fontenoy. L’UNESCO La Maison de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education,
la Science et la Culture, construite de 1955 a 1958, est un véritable
musée d’art contemporain par la hardiesse de son architecture en
Y aux façades incurvées et de sa décoration a laquelle
ont collaboré les plus célèbres artistes du monde (mobiles
de Calder, céramiques de Miro). L’HOTEL DES INVALIDES Immédiatement en arrière de l’église Saint -;
Louis des Invalides se trouve le batiment construit par Louis XIV pour
les soldats infirmes(immense, quadrilatère qui rappelle par son organisation
intérieure très simple, l’Escorial. Aujourd’hui, avec
quelques invalides et des bureaux militaires, y est installé le Musée
Historique de l’Armée, premier musée militaire du monde
par ses riches collections d’armes, d’armures, de drapeaux, d’uniform,
de soldats de plomb…, qui passionnent les amateurs d’armes et d’histoire
militaire. LE MUSEE DE L’ARMEE Le Musée de l’Armée situé dans l’un des plus
beaux monuments de paris, L’Hôtel des Invalides construit par Louis
XIV est un musée d’Art, de Technique et d’Histoire. Les collections
présentées au public sont parmi les plus riches du monde, elles
permettent de retracer l’évolution de l’armament et de l’équipement,
de la Préhistoire a nos jours. Après les silex préhistoriques
et les premières armes métalliques on verra impressionnante série
d’armures ; des salles consacrées aux armes depuis l’Ancien
Régime jusqu’au Second Empire, et plus près de nous, l’évocation
des grands conflits mondiaux de 1914-1918 et 1939-1945. La plus harmonieuse des places parisiennes, fut construite sous Louis XIV. Jules Hardouin -; Mansart éleva d’abord les façades, qu’il vendit avec les terrains en arrière a des particuliers qui achevèrent ensuite les hôtels. La parfaite régularité de son quadrilatère a pans coupés, la majesté sereine des arcades du rez -; de -; chaussée et des pilastres corinthiens des étages, l’élégance des fenêtres, des mansardes, le discret décrochement des avant -; corps a fronton en triangle formaient un cadre exceptionnel pour la gigantesque statue de Louis XIV, abattue en 1792 et remplacée sous l’Empire par une colonne de 41 m réplique de la Colonne Trajane de Rome. La fonte de 1.200 canons pris a Austerlitz fournit les plaques de bronze qui recouvrent et qui représentent la Campagne de 1805. Bordée des noms les plus prestigieux du commerce parisien, elle conduit a la Place de l’Opéra, centre de l’activité parisienne, environnée de grands magasins, de restaurants, de théatres, de mousic -; halls, de cinémas d’exclusivité qui y maintiennent un mouvement de foule permanent jusqu’a une heure anceée de la nuit. L’OPERA Construit a partir de 1861 par Charles Garnier, qui voulut ainsi faire
de Napoléon III l’égal des grands souverains batisseurs.
C’est le plus grand théatre lyrique; la scène peut
contenir 450 figurants. L’Opéra est doté d’une extrême
richesse décorative. Suréléves sur un grandperron de dix
marches, les vestibules s’ouvrent par sept arcades en plein cintre séparées
par des groupes sculptés. A l’étage, le foyer s’ouvre
par une loggia a seize colonnes géminées doublant les petites
colonnes qui encadrent les portes -; fenêtres surmontées de
bustes de compositeurs.Enfin, un large attique sculpté surmonté
de deux grands groupes de bronze laisse voir la surface verte du dôme
surbaissé qui coiffe la grande salle, et le fronton couronné d’un
Apollon élevant sa lyre, au dessus de la limite entre la salle et la
scène. La fin du XVIIIème siècle a connu un vif regain d’intérêt pour l’art gréco-romain, et quand Napoléon ler voulut édifier un « temple de la Gloire », il choisit le projet de Vignon, copie d’un temple romain entièrement entouré de colonnes corinthiennes, colonnes de 20 m de hauteur. Le fronton, sculpté par Lemaire représente le jugement dernier. L’édifice sera achevé en 1840 seulement, et pourvu alors d’une décoration trop riche dont on retiendra surtout le baptême du Christ de Rude et le mariage de la Vierge de Pradier, de part et d’autre du vestibule. LE MARCHE AUX FLEURS Dés le printemps, un marché multicolore fleirit la place invitant
le promeneur a flaner parmi les bouquets et les cris des marchandes. PLACE DE L’ETOILE ET ARC DE TRIOMPHE Ainsi appelée parce que douze avenues rayonnent a partir de l’Arc
de Triomphe situé en son centre. Le dessin de la place n’a été
achevé qu’un 1854 alors que l’Arc de Triomphe fut inauguré
en 1836. C’est le Nouveau Quartier des Affaires, situé dans le prolongement des Champs-Elysées et de l’Arc de Triomphe ; un ensemble de tours de plus de 30 étages, que l’on apercoit a plusierus kilomètres. LES CHAMPS-ELYSEES Une des plus célèbres avenues du monde, reliant la place de
l’Etoile a place de la Concorde. Elle constitue le début
d’unde grande perspective qui, en ligne droite sur 6 km, par l’avenue
de la Grand Armée, atteint le Rond- point de la Défense. LE GRAND PALAIS -; LE PETIT PALAIS Ils ont été construits pour l’Exposition Universelle de 1900. Le Grand Palais, d’une façade de 240m est toujours utilisé pour divers Salons ou Expositions. Une partie de l’édifice est occupée en permanence par le Palais de la Découverte, où sont présentés les derniers progrès de la Science. Le Petit Palais abrite les collections diversese acquises par la Ville de Paris. LA PLACE DE LA CONCORDE A l’entrée de la Place de la Concorde se dressent, de part et
d’autre, les chevaux de Marly. Au XVIème siècle, en même tempsqu’un nouveau palais
jouxtant celui de Louvre, Catherine de Médicis fit aménager un
parc « a l’italienne ». Près de la place de la Concorde, du côté « Bord de l’eau »: le Pavillon de l’Orangerie ; du côté « rue de Rivoli »: le Pavillon du Jeu de Paume. Dans les jardins: parterres, salles de verdure et nombreuses statues. LE LOUVRE Le palais et les jardins du Louvrecouvrent aujourd’hui une superficie
de plus de 40 hectares. Ils sont le résultant d’un travail a
peu près continu du XVIème siècle et portent la marque
de styles divers. Cette rue parallèle a la Seine, de la Bastille a la Concorde, présente, face aux Tuileries, des maisons du XIXe siècle, enjambant le trottoir d’arcades majestueses. Son nom fut donné a la suite de la victorie de Napoléon sur l’Autriche a Rivoli. LE PALAIS -; ROYAL Le palais ne prit ce nom que lorque la régente Anne d’Autriche
s’y installa avec le jeune Louis XIV. Construit par l’architecture Louis pour le Duc d’Orléans, en annexe du Palais Royal, cet édifice depuis 1792 les Comédiens Français auxquels un statut a été donné en 1812 par Napoléon ier. A l’intérieur, nombreuses statues dont quelques chefs -; d’œuvres comme le célèbre Voltaire de Houdon. PLACE DES PYRAMIDESSTATUE DE SAINTE JEANNE D’ARC Sur la place des Pyramides, légèrement en retrait de la rue de Rivoli, face aux Tuileries et au Louvre se dresse une statue équestre de Jeanne d’Arc, qui fut blessée a cet endroit lors d’une attaque pour délivrer Paris en 1429. LA BASILIQUE DU SACRE-;CŒUR ET MONTMARTRE Eglise votive, élevée par souscription de 1876 a 1919,
date de sa consécration. Coiffée de nombreuses coupoles et dominée
par le dôme et la campanile, la basilique possède une crypte très
vaste et porte dans son clocher une des plus grosses cloches du monde: La Savoyarde.
En avant de la basilique, une terasse offre une vue magnifique sur Paris. Cette place a tirè son nom de la forteresse, appelée le Grand
Chatelet, qui contrôlait, sur la rive droite, le passage de la Seine
a cet endroit. La place n’existe que depuis le Premier Empire. LA TOUR St JACQUES A proximité de la Place du Chatelet, la Tour St Jacques n’est autre que le clocher de l’Eglise Saint -; Jacques -; la -; Boucherie, démolie en 1977, et qui avait été l’église des corporations des bouchers, tripiers, écorcheurs, tanneurs. LE CENTRE NATIONAL D’ART et de CULTUREGEORGES POMPIDOU Inauguré au début de l’année 1977, le centre d’Art, unique en Europe, rivalise avec les mieux adaptés des Etats -; Unis. Ce centre est voué a l’art contemporain sous toutes ses formes. D’une architecture moderne assez étrange, il mérite d’être visité. A. VERSAILLESConduit par le double souci s’éloigner des remuantes foules parisiennes
et de garder sous son contrôle la haute noblesse, Louis XIV installa ici
sa résidence et son gouvernement, dans un chateau qui est a
la fois une ville et un hommage épique a la majesté du
Roi -; Soleil. On entre au chateau par la Place d’Armes, en demi-cercle, fermée par la grille du chateau. De la, l’œil est guidé par étapes vers la cellule primitive, le petit chateau rendez -; vous de chasse construit par Louis XIII en 1631, alors que Versailles n’était qu’une forêt marécageuse où le Roi venait courir le cerf ou le sanglier. Après la première cour aux gros pavés ronds, bordée de deux batiments où logeaient les bourreaux, on passe dand la Cour des Ministres, plus étroite, après, avoir croisé la statue équestre de Louis XIV qui accueille le visiteur d’un noble geste de commandement.Enfin, on atteint la Cour de marbre, enserrée par le petit chateau de Louis XIII, aisénement reconnaissable aux chainages de briques rouges qui égaient la pierre blanche. C’est la que Louis XIV a tenu a loger, derrière le trois hautes fenêtres du balcon. Mais l’aspect champêtre de ce premier chateau a dû s’harmoniser a la majesté des constructions nouvelles. Les architectes Le Vau, puis François d’Orbay, puis Hardouin -; Mansart, prolongèrent les ailes, garnirent de bustes les murs et de trophées la balustrade du toit. Quand la façade sur jardin fut achevée, il fallut surélever d’un étage le Chateau -; Vieux, ce qu’Hardouin -; Mansart réussit très habilement en encadrant le pavillon central par un toit a forte pente dont les lucarnes dissimulent l’étage supplémentaire, qui risquait d’écraser la cour déja étroite. Coté Ville, la façade, avec ses drochements successifs, ne rend pas pleinement compte du caractère grandiose du batiment. Il faut passer dans les jardins, en fin d’après -; midi, quand le soleil embrase de teintes rousses l’interminable théorie des fenêtres, pour être subjusué. La, du fond du parterre d’eau, le chateau s’impose pleinement. L’ensemble pourrait être monotone. Certes les sobres arcades en plein cintre du rez -; de -; chaussée creusesnt d’ombres profondes la base. Certes, trois pavillons marqués par des colonnes brisent la continuité du corps central tandis que les trophées et des balustres fragmentent le haut du batiment. Pourtant on regretterait que cette façade continue de la Galerie des Glaces ait remplacé la terrasse qu’avait laissée Le Vau, si tout ce corps central n’avait été projeté en avant par les deux immenses ailes ajoutées par Hardouin -; Mansart, monotones en elles -; mêmes, mais qui mettent en valeur le batiment avancé, comme l’orchestre soutient le soliste. Sur la droite, les arabesques du parterre du Midi conduisent a un autre chef -; d’œuvre d’Hardouin -; Mansart, l’Orangerie. Profitant de l’orientation, Le Nôtre avait rassemblé la, sur une forte pente, les arbres délicats. L’architecte y construisit une resserre d’une simplicité et d’une puissance toute antique. Le bossage linéaire des pierres nues et les cintres austères des ouvertures ne sont interrompus que par les quatre couples de fortes colonnes de l’entrée. L’intérieur est une suite des hautes galeries voûtées en arc pour soutenir le poids du chateau. De chaque côté de la cour, les Cent Marches, deux escaliers cyclopéens, lancent leurs trois volées sans ornement vers le ciel. Dans le Parc conçu par Le Nôtre, toute une équipe de sculpteurs et d’hydraliciens installa un monde de statues et d’eaux fusantes: Girardon, Coysevox, plus calme, avec l’admirable Nymphe a la Coquille, a droite du bassin de latona, les frères Marsy etc. B.FONTAINEBLEAU L’immense forêt de Fontainebleau attira très tôt ces grands chasseurs que furent les rois de France. Philippe Auguste y édifia un chateau où naquit et mourut Philippe le Bel. Au Xvème siècle, les souverains préférènt les bords de la loire, mais François ler, conquis dès son premier séjour, fit de Fontaineableau la grande résidence royale et commença le chateau autour du donjon de Philippe Auguste. Ses successeurs l’agrandirent, en particulier Henri IV qui laissa leur aspect actuel aux batiments ; Louis XIV et Louis XV s’intéressèrent surtout aux jardins. NOTRE -; DAME L’actuelle Notre -; Dame, église cathéglise cathédrale
de paris, a été commencée après 1160 sur les ordres
de l’évêque Maurice de Sully. La constructions n’en
fut achvée qu’en 1345, près de deux siècles plus
tard. En 1841 Viollet -; le -; Duc en entreprit la restauration devenue
nécessaire, et ce n-est qu’en 1864 que Notre -; Dame eut enfin
son aspect actuel. |
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