Gustave Flaubert, fils d’un chirurgien ne en 1821 a 12 decembre a Rouen; il grandit sans contrainte et ne quitte sa ville natale qu’a l’age de 18 ans.Il passé son enfance dans un pavilion de l’ hopitale.Eleve indiscipline, mais brillant il part a Paris après son baccalaureat pour faire des etudes de Droits qui le passionnent moins que la literature.A eu un vie de celebataire. o4q8qk
En 1872, tardis que sa sante se degrade, il perd sa mere, puis, en 1876, Louise Callete et sa vielle amie George Sand.
Les romans de Flaubert s’inspirent pour la plupart d’eveniments reels-contemporains ou historiques.Il recherché ce qu’etaient ses personnages, leur heredite, leur conduite, leur lieux ou ils ont vecu et il reste generalement aussi pres de la realite que son art de romancier lui permet.A vrai dire, en depit de tous ses efforts, Flaubert n’est pas parvenu a realiser une oeuvre parfaitement impersonnelle.Portant, il est devenu un des plus grands prosateurs, par l’harmonie que fait de certains pages de veritable poemes et peut-etre plus encore par la valeur evocatrice des rythmes et du sens.Il a ete un admirateur de Victor Hugo.
Romantique par gout et par formation, Flaubert est en meme temps classique par raison.Prosateur soucieux de la perfection du style.
Oeuvres
“La tentation de Saint Antoine”
“Salammbo”(recit exotique tendant a un mineutieuse reconstitution historique de la
Carthage)

“L’education sentimentale” (roman de l’echec, non seulement d’un jeune homme, mais de toute un generation, celle romantique)
“Trois Contes”(nouvelles:”Merodias”,”La legende de Saint Julien l’hospitalier”
“Un coeur simple”
“Dictionnaire des idees recues” (critique des lieux communs , des clishes et des stereotypes a pretention culturelle)
“Madame Bovary”(1857) parut dans la “Revue de Paris” premierement, puis en libraire.Flaubert commence “Madame Bovary” a l’automne 1851.Pendant 5 ans il va restera a Croisset pour ecrire ce roman inspire d’un fait divers.Ce livre est considere comme un attentat a la morale publique et pour lequel l’auteur sera traduit en justice. Au fait la societe bourgeoise violemment attaquee, y repondra a sa facon.
“Correspondance” (publiee après sa morte) plusieures volumes d’une extreme importance pour la mise a jours des idees esthetiques de
Flaubert.”L’auteur , dans son oeuvre, doit etre , comme
Dieux dans l’univers, present partout et visible nulle part…
Il faut faire s’aimer les arbres et tressaillir les granits.”

Critique litteraire
1) Roland Barthes “Le degre zero de l’ecriture”
2) Jean-Pierre Richard “Litterature et sensation”(ch.Creation de la forme chez
Flaubert)
“Le livre ideal serait pour lui, comme pour S.Mallarme, celui qui parviendrait a la detacher de la realite”
3) Sainte-Beuve “Pages de critique” (I cr.francais)

1) “Flaubert et le phrase” (Le roman de l’ecriture)

-pour Flaubert le style est la peine absolue, la peine infinite, la peine inutile
-la redaction est autre mesure lente, elle lui demande a dire un “definitif adieu a la vie”
-“un livre a ete toujours pour moi un mode special de vivre”
-comme odyssee, l’ecriture flaubertienne se reduit a ce que nous appelons habituellement les corectiones du styles…Les corectiones qu’il fait dans ses manuscrits, sont bien-sur, differentes,mais “l’atrocite du style se concentre en deux points, les deux crois qu’il doit parter.La premiere ce sont les repetions des mots…La deusieme-les transitions du discours…
-pour Flaubert la phrase represente, egalement, une unite du style, une unite travail et une unite de vie;elle concentre l’essentiel de ses confessions a propos de son travail d’ecrivain.
-la phrase de Flaubert est un objet
-Esseyons a finir la phrase dit implicitement Flaubert dans chaque “moment de son travail, de sa vie, pendant que, en se contredisant il se voit oblige exclamer toujours “Elle ne se temine jamais”.

De Flaubert jusqu’a nos jours la litterature aest devenue une problematique de language.La forme est comme un objet elle scandalise, elle semble demodee.Flaubert a institue definitivement la litterature comme objet.La forme est devenue la resultat d’une”usinage”.

2)Dans ce chapitre Richard dit que les desires mediocres sont la transpositions en ordre physique d’une desire plus autentique, d’un “tremblement” de tout l’etre.Ce “tremblement” se nomme verve.
Flaubert afirma un jour par une boutade pleine de sens:”La Bovary c’est moi”.C’etait montrer la lien presque charnel existent entre romancier